Philippe Dibilio (né à Grenoble (Isère) en mars 1944, mort le 2 août 2016), entre au Jeunesses communistes en 1963.
Il devient secrétaire de la section du Parti communiste de Fontaine (Isère) et collabore comme journaliste au Travailleur alpin.
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Rédaction de L'Humanité Quitte le PCF en 1983 |
Son goût pour la presse le conduit à l’Humanité, dont il devient rédacteur en chef adjoint, jusqu’au début des années 1980.
En 1977, il devient directeur du quotidien "Le point du jour", créé à l'initiative du PCF, qui cesse rapidement de paraître pour des raisons économiques. Puis il participe en 1978, à la création de L’Humanité Rhônes Alpes (qui reprend une partie de l’équipe du Point du Jour).
Il quitte le PCF en 1983, « à qui, dit-il, je dois toutes les bases de ma culture politique mais en 1983, je ne pouvais plus suivre ».
En 1983, il intègre le cabinet de Maurice Charrier (PCF), maire de Vaulx-en-Velin. Dibilio est élu en 1988 dans la même ville et devient premier adjoint.
En 1988, il est le premier rédacteur en chef de Télé Lyon Métropole (pour quelques mois…)
En 2001, il entre au cabinet du nouveau président de la communauté urbaine de Lyon, Gérard Collomb. Il est chargé des relations avec l’ensemble des élus.
En 2005, il participe au lancement de l’hebdomadaire lyonnais, Tribune de Lyon.
Sources
Le Progrès, 4 août 2016
Responsabilités au PCF
Rédacteur en chef adjoint de l’Humanité
Mandats électifs
Conseiller municipal et premier adjoint de Vaulx-en-Velin : 1988