Les Ex-PCF

Le plus grand parti de France

Historien, enseignant, politologue ; adhère au PCF en 1951, le quitte en 1956 après les révélations sur le stalinisme et les événements de Hongrie.

Ouvrier fraiseur ; exclu en 1947 ; résistant communiste ; membre du groupe Valmy, dit "Abbeville".

Philosophe, professeur d’université ; démissionne en 1982 dans le contexte de l’Affaire Fizsbin.

Avocat ; partisan de l’adhésion à l’IC ; démissionne en 1923 après la décision du parti d’interdire l’appartenance à la Franc-maçonnerie.

Réalisateur de télévision ; rédacteur à l’Humanité-Dimanche ; quitte le PCF en 1981.

Ouvrier mécanicien; député communiste de la Seine ; quitte le PCF en 1928 ; membre fondateur du Parti ouvrier et paysan.

Agrégé d’histoire, attaché de recherche au CNRS, professeur à la Sorbonne ; adhère en 1935, s’éloigne en 1969 après la répression du Printemps de Prague.

Employé municipal puis dans l’édition ; historien du mouvement syndical et de la chanson sociale ;  adhère au PCF vers 1926, le quitte en 1961.

 Institutrice, féministe, syndicaliste et pacifiste ; entre au PCF en 1920, le quitte au milieu des années 1920.

Professeur ; député ; pacifiste et antimilitariste ; vote contre les crédits de guerre en juin 1916 ; exclu du PCF (SFIC) en 1922.

Saint-Cyrien ; officier ; résistant ; maire adjoint d’Arcueil ; spécialiste des questions de défense nationale auprès du CC ; exclu en 1977.

Psychiatre, psychanalyse ; adhère à l’UEC en 1958 et au PCF 1959, exclu en 1965.

Ouvrier-ajusteur ; membre du CC (1954-1985) ; directeur de l’Institut Maurice Thorez, rédacteur en chef de Révolution ; s’éloigne du PCF après 1989.